Mon estomac est tout en gazouillis et ma tête tourne à l’avance alors que je cours dans les nuances profondes d’une froide soirée de novembre. Je suis en retard et je ne sais pas vraiment où je vais me rendre ni qui je trouverai à mon arrivée. C’est la beauté et la responsabilité d’Internet. Des salons de discussion sur des salons de discussion remplis de mystères sexuels, de rêves et de mensonges. Un endroit où la fantaisie règne et où la réalité ne doit pas s’appliquer.

Quelques mots chauds sur un écran, des photos d’une virilité palpitante sans visage, un ensemble d’indications vagues et me voilà parti dans la nuit glaciale avec une poche pleine de préservatifs et un tube de lubrifiant. Un garçon de fond en chaleur je suis… rien d’autre ne pourrait expliquer un tel comportement impulsif. Un petit bureau à côté d’un terrain vague dans une ville voisine… le cadre parfait pour un fantasme qui prend vie.

Mais est-il réel ? Seul le temps peut le dire. Ses indications sont vraies et il y a un véhicule dans l’allée. Il n’y a qu’un seul véhicule et il correspond parfaitement à celui que le prétendant sans nom a décrit. Mon cœur s’emballe lorsque l’ombre d’un visage apparaît dans une fenêtre faiblement éclairée. Je gare mon chariot derrière son SUV. En m’approchant de la porte, je commence à trembler et un frémissement d’anticipation envahit mon rectum fraîchement nettoyé. La porte s’ouvre et une voix douce mais irrésistiblement confiante m’invite à entrer.

Le moment de non-retour… Je n’ose pas repenser à cette folie car elle défie toute logique. Le désir ardent de pénétration enveloppe mon esprit et m’attire dans la chaleur inquiétante du bureau de l’homme. Il est là, sombre, grand et fort mais pas complètement intimidant. Il a de la chaleur dans son sourire, mais ses yeux me regardent comme si j’étais un canasson dans les écuries de l’hippodrome. L’étincelle dans ses yeux trahit son approbation et je sais que je dois être sa monture pour ce soir . Aucun mot n’est prononcé. L’anonymat et le mystère imprègnent l’ambiance. Mes fesses picotent alors qu’il me conduit par les épaules dans une petite pièce. C’est un petit bureau sans ornement, éclairé par une lampe de bureau sur un grand bureau en bois de placage. Le bureau est le seul meuble de la pièce à part deux hauts classeurs et une corbeille à papier. Je peux sentir sa présence derrière moi.

L’éternel moment gênant qui s’attarde entre l’opportunité et l’action. Son eau de Cologne envahit mes sens. Je sens ses yeux qui dessinent les contours de mon derrière bien galbé. Mes tremblements montent au point de devenir des preuves visibles. Je sens ses mains saisir mes hanches alors qu’il me rapproche, la bosse grandissante de son pantalon se pressant dans la couture de mon jean qui fend mes fesses chaudes. Je sais, sans l’ombre d’un doute, que je suis sa propriété.

Ses mains glissent sur mon abdomen et un frisson parcourt ma colonne vertébrale comme une charge électrique qui explose dans mon cerveau comme un coup de tonnerre. Ses mains continuent de remonter lentement le long de mon torse, puis autour de mon dos tendu. Il me chatouille ludiquement le long de ma colonne vertébrale en étouffant un rire lorsqu’il voit la chair de poule monter sur la peau de mon cou. Doucement, il pose ses grandes mains sur mes frêles épaules et appuie doucement vers le bas.

Je descends jusqu’à ce que je sois à genoux avec lui derrière moi, massant la tension de mes épaules. Soudain, ses mains quittent mes épaules et d’un seul mouvement gracieux mais rapide, il se dresse devant moi. Avec nostalgie, je regarde ses abdominaux et sa poitrine ciselés jusqu’à ce que nos yeux se rencontrent. Je sens l’ordre sans mot et me prépare à l’exécuter.

Mes mains tremblantes atteignent la boucle de sa ceinture. Mes nerfs s’emballent et les tremblements augmentent au point de frôler la convulsion. Je suis maladroite et lente mais il est patient. Il se tient debout comme la statue d’un roi puissant mais bienveillant qui me regarde avec une compréhension froide. Finalement, je réussis à ouvrir son kaki, exposant son caleçon et une bande de poils foncés qui s’étend de la ceinture au nombril. Comme par la force de sa volonté, le pantalon tombe au-delà de ses genoux et s’enroule autour de ses chevilles. J’hésite et lève les yeux vers lui pour obtenir d’autres instructions non verbales.

Voyant mon hésitation, il sort rapidement du pantalon et le met de côté. Ses gestes sont décisifs et je sais qu’il veut prendre le taureau par les cornes. Il recule devant moi, plus proche qu’il ne l’était il y a un instant fugace. Sa masculinité musquée s’infiltre dans mes narines. En un seul mouvement fluide, son caleçon entoure maintenant ses chevilles. Voici qu’à un pouce de mon nez se dresse un fier phallus excité de sept pouces et demi. C’est une représentation parfaite de la virilité douce, avec du pré-éjaculat perlant à l’extrémité. Je mouille mes lèvres pour le festin imminent… mon propre petit pénis qui sort de sa stupeur induite par les nerfs.

Les lèvres humides écartées, je commence à avancer vers l’objet de mon désir mais je suis retenue. Sa main se serre doucement mais fermement sous mon menton et ferme ma bouche. Son autre main dirige son membre vers mes lèvres humides. La pointe repars mes lèvres et se presse contre mes incisives. Lentement et doucement, il fait passer l’extrémité de sa virilité d’avant en arrière sur mes lèvres, les lustrant de son précum salé. Il semble que des heures délicieuses s’écoulent alors qu’il fait tournoyer sa queue sur ma bouche fermée, tantôt effleurant à peine mes lèvres tremblantes, tantôt les traversant en appréciant la sensation de planche à laver lorsqu’elle vibre sur mes dents.

Enfin, il relâche ma mâchoire avec une soudaineté qui fait tomber ma bouche ouverte. Je sens ses deux mains s’emmêler dans mes longs et doux cheveux bruns. Enfin, il attire ma bouche affamée sur son organe d’amour parfait. Il avance lentement jusqu’à ce que je sente la tête contre le fond de ma gorge. Je m’approche du paradis. Il entre et sort doucement en faisant tout son possible pour ne pas me bâillonner. Je lève les yeux et vois la félicité dans ses yeux alors qu’il savoure ma bouche et mes lèvres veloutées. Son rythme s’accélère jusqu’à ce que je puisse entendre un bruit sec audible lorsque la tête passe devant mes lèvres aimantes.

De temps en temps, il se retire et gémit pendant que je grignote le dessous de son phallus et que je passe doucement ma langue sur le minuscule décolleté sensible de sa tête en forme de champignon. Il tape sa virilité contre mes joues ou la brosse sous mon nez avant de la réinsérer. Que des minutes, des heures, des semaines ou des éons se soient écoulés pendant que je donnais du plaisir à mon amant par voie orale… je ne saurais le dire mais soudain, sa queue donne un soubresaut dans ma bouche. Instinctivement, il se retire. En relâchant mes cheveux, il pince la tête de son pénis pour maîtriser un orgasme prématuré tout en tendant la main pour m’aider à me relever de mes genoux. Le moment que j’attendais est proche.

Je plonge la main dans ma poche pour sortir un préservatif et un tube de lubrifiant. Il sourit alors que j’essaie en vain de faire passer le préservatif sur la tête épaisse de son organe, les mains tremblantes et l’esprit en ébullition. Avec un doux gloussement, il me prend le préservatif et le fait facilement glisser sur sa queue palpitante. Je sens alors ses mains sur mes épaules à nouveau. Il laisse tomber mon jean et mon slip, me guide vers le bord du bureau et me penche doucement dessus. Je sens l’air frais souffler contre le pli serré de mon anus. Je me sens exposée et vulnérable. Je l’entends travailler la lubrification sur son pénis recouvert de latex derrière moi. Mon cœur s’emballe lorsque je sens les doigts lisses humidifier mon trou inférieur. D’abord un doigt, puis deux entrent en moi. Je me tais lorsque sa queue danse sur mes joues de cul nues. Il retire ses doigts et mon cœur saute à la gorge lorsque le bout glissant de sa magnifique virilité effleure la fente de mon cul en attente. Je suis comme de la gelée entre ses mains alors qu’il saisit mes hanches fines, son missile visant mon trou d’homme. J’appuie ma poitrine contre le bureau en bois frais et je cambre mon dos pour que mon cul chaud et serré s’élève dans les airs. Bientôt… si bientôt… il va me conquérir et me posséder. Recevrai-je la pitié de son bon cœur ou serai-je victime de sa libido sauvage ? Dans tous les cas, je serai sûrement un instrument pour son plaisir. Alors qu’il appuie sur l’anneau tendu de muscles qui protège mon canal d’amour, je murmure doucement : “vas-y doucement mon amant”.

La pression augmente et je suis inondée d’un mélange intense de douleur, de désir et de peur. Je suis reconnaissante que mon amant soit si doux et prévenant. J’agrippe les bords du bureau et gémis doucement alors que ma résistance involontaire cède soudainement et que mon gentil conquistador accède à mon orifice le plus intime. Je suis à lui maintenant, mais il avance quand même avec gentillesse, m’envahissant lentement. Mon trou d’amour s’étire pour accepter sa circonférence. Centimètre par centimètre lent et douloureux, il prend davantage de moi jusqu’à ce qu’il n’ait plus rien à ingérer. Il est tout entier en moi maintenant. Il place une grande main sur mon omoplate gauche et me plaque doucement mais fermement contre le bureau. Alors qu’il se retire lentement, il place son autre main sur le bas de mon dos fin.

Il se retire jusqu’à ce que seule la pointe de son arme maintienne mon sphincter tendu ouvert. Puis, d’un seul coup lent mais régulier, je suis à nouveau empalée sur sa queue. Je me sens pleine à l’intérieur et mon prostrat picote de façon excitante. Je suis délicieusement impuissante lorsqu’il commence à travailler mon cul en longs coups calculés. La douleur a cessé et mon rectum a accepté son sort. Il commence à faire des mouvements d’entrée et de sortie, chaque coup faisant passer la grosse tête complètement devant mon ouverture chaude. Mon pénis et mon scrotum, comparativement plus petits, s’agitent à chaque poussée. Mon corps s’est maintenant rendu. Son urgence augmente à mesure que la luxure l’emporte sur la gentille préoccupation. Il commence à alterner entre de longues et profondes pompes et de courts coups de poignard rapides dans mon ouverture. Je me tortille de bonheur en criant pour qu’il baise mon cul serré. Il grogne comme un animal en rut. Encore et encore, je m’abandonne à sa conquête de mon corps. Je suis sa petite salope et lui mon grand dieu païen.

Enfin, il grogne profondément et se retire soudainement de ma cavité anale maintenant béante. Je sens ce qui ne peut être que le préservatif frapper mon dos et y rester. Son gémissement primordial m’indique que j’ai rempli mon devoir ; la chaleur de son sperme qui coule dans la fente de mon cul et dégouline sur ma jambe confirme que mon service envers lui a été satisfaisant. Il se retire et nous nous habillons. “Seras-tu encore en ligne vendredi prochain ?” sont les premiers et seuls mots qu’il me dit en me raccompagnant à la porte. “Bien sûr que je le ferai”, réponds-je. Quel bon petit cul je suis.

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